« Ils vont comme des anges » est une suite, à mon livre « Je suis le Mur ». Les mêmes figures y sont présentes : le Mur, Choses machines et personnes, l’homme égaré, le petit crâne.
La poète dresse l’inventaire des résidus ramenés par la tempête et nettoie pour que ses « superbes roses ne s’épanouissent pas sous ce plastique venu on ne sait d’où ».
Traduit de l’estonien par Eva Toulouze